leeboon ci leer - contes au clair de lune


Le Premier Festival International du Conte et de la Parole aura lieu à Gorée, au Sénégal, du 10 au 12 mai 2007, dans le cadre de la Commémoration de l’Abolition de l’Esclavage par le gouvernement français. Il s’agit d’une première mondiale: jamais auparavant aucun Festival n’avait été entièrement consacré au thème des: «Esclavages et Traites Négrières». Trois jours et trois nuits durant, les spectacles de contes, d’une durée d’une heure environ, alterneront avec les interventions musicales, les chants, la danse, la parole. Le Festival se déroulera en plusieurs endroits différents de l’île de Gorée, spécialement aménagés à cet effet. Notre but: marquer les esprits au fer rouge de la mémoire.

"Et aucune race ne possède le monopole de la beauté, de l’intelligence, de la force" - Aimé Césaire

Image: © Claude Thévénaz

Y participeront:

* Vingt conteurs professionnels venus des quatre coins du monde, dont de nombreux africains,(Babacar Mbaye Ndaak, Bouna Bocam, Joseph N’Diaye(Sénégal), Jorus Mabiala(Congo), Manféï Obin(Côte d’Ivoire); des français, des québecois, une amérindienne une afro-américaine, un suisse, une allemande, un guyanais, un antillais, un haïtien.

* des universitaires, des hommes et femmes de lettres d’ici et d’ailleurs (Wole Soyinka, Edouard Glissant(sous réserve), Lilian Kesteloot, Prof.Mamadou Ba)

* des griots, des musiciens,des danseurs et danseuses,au nombre de cinquante, la chorale de Gorée, une fanfare.

En raison de l’aspect autant pédagogique que culturel de cet événement hors du commun, de nombreux jeunes: écoliers, étudiants, lycéens, (2000) et des enseignants de Gorée, de Dakar et de la région y assisteront, à côté du grand public national et étranger.

Ce Festival bénéficie du soutien du Conseil Régional d’Ile-de-France, de l’Ambassade de France à Dakar, de la Mairie de Gorée, de l’Unesco et du Goetheinstitut.

L’entrée est gratuite pour tous. (Mieux vaut réserver dès à présent.)

Pour tous renseignements: Massamba Diongue(221) 551 16 14 ou Ben Zimet (221) 823 52 46 / 583 77 11 - Email.

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En vue de la préparation du prochain Colloque sur l’enseignement/apprentissage du français et du portugais dans le contexte plurilingue africain, organisé par la Direction Promotion et Enseignement des Langues de l’Union Latine et l’Instituto Superior de Educação (ISE) du Cap vert en partenariat avec l’Instituto Internacional da Língua Portuguesa (IILP), avec le soutien de l’Agence universitaire de la Francophonie et de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, une réunion du Conseil scientifique s’est tenue à Praia dans les locaux de l’ISE les 26 et 27 mars. A cette occasion, le mercredi 28 mars, Massamba Gueye, membre du Conseil scientifique, professeur de français et aussi conteur sénégalais, a dispensé deux cours basés sur le conte traditionnel sénégalais.

Ces cours se sont adressés aux étudiants des 3ème et 4ème années de la filière de français de l’Instituto Superior de Educação. Cette rencontre a donné aux étudiants l’opportunité de découvrir différents aspects du « savoir raconter » se fondant sur la pratique sociale de la parole vivante. Introduisant de nombreux échanges dans l’exercice de son art, le professeur Massamba Gueye a suscité un vif intérêt auprès des étudiants présents.

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Rencontres et spectacles avec des conteurs venus d’Afrique, d’Europe et d’Amérique ; promotion de la littérature orale avec le Mali comme invité d’honneur. Conteurs : Sénégal - Leeboon Ci Leer ; France - Guilaine Kasza ; Burkina Faso - Assane Kouyaté ; Algérie - Saïd Ramadane ; Liban - Jihad Darwiche. Le festival aura lieu du 15 au 24 février à Dakar - au Centre Culturel Blaise Senghor, à Pikine, à Île de Gorée, à la Porte du Millénaire, à la Maison de la Culture Douta Seck et à l'Institut culturel et linguistique. Les Maîtres d’oeuvre seront L'Association Leeboon Ci leer et la Compagnie Madior et Abou FALL

Partenaires : M.C.D.S, Maire d’Arrondissement Médina, Centre des Arts du Récit en ISERE (France), Insitut culturel et linguistique (ex C.C.F.) de Dakar etc...
Contact : Rue 7 x 8, Médina, ciemadior@tele2.fr, tél. : 821 53 53

La nuit du conte

Date : 27-mai
Lieu : Centre culturel Blaise Senghor
Maître d’oeuvre : Association LEEBOON CI LEER
Contact : Centre culturel Blaise Senghor

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Les représentants des différents pays africains (y compris lesécrivains, les éditeurs et amoureux des livres) se sontrencontrés au mois d’avril à l’Université de Cape Town pourparler du projet Histoire d’Afrique (en sigle StAAf), qui est l’unde cinq projets principaux de l’ILPAA (Exécution du PlanLinguistique Africain) (voir LEAPnews 6).

StAAf, qui estcoordonnée par PRAESA, comprend les cinq régions del’Afrique ainsi que la diaspora.Trois types d’histoires seront récoltés – pour les petitsenfants, pour les enfants d’âge moyen et pour les jeunesadolescents. Le but de ces histoires, c’est la promotion d’uneculture de lecture et d’écriture en langue africaine.Une de meilleures stratégies de l’élévation du statut deslangues africaines consiste à accroître leur visibilité et impor-tance en les utilisant sous la forme écrite. Actuellementl’utilisation des langues africaines sous forme écrite est soitsporadique, aléatoire, moins développée et en général restreintaux textes religieux ou scolaire.

Dû au modèle du bilinguismenon additifs qui a étreint les systèmes éducatifs, les livres deStories Across Africa (StAAf) workshop lecture ne sont pas produits pour un public au delà despremières années d’études primaires.En même temps, on sait que les maisons d’édition ontinvesti et bénéficié du marché des livres scolaires.

D’autres matériels de lecture sont communément considère commesupplément au livre scolaire. De cette manière, le potentiel éducationnel des histoires et contes a été minimisé dans la pluspart d’écoles primaires du continent. Néanmoins, au fil des années, beaucoup des contes pourenfant ont été récoltés. Les contes africains en particulier ont été publiés en Europe et aux États Unis pour les enfants dans ces pays là.

Mais en Afrique, plusieurs collections de contes sont enlangue coloniales; et certaines veilles publications ne sont plussur le marché. Il y a très peu ou pas de roman contemporain pour enfants africains en langue africaine. Pour les petits enfants, les livres illustrés qui sont à la fois important pour la détente et l’éducation sont quasi inexistants, excepté peut être quelques traductions.

Durant l’atelier du mois d’avril, il a été décidé que pour la première phase de ce projet, les collections comprendront unevariété des langues africaine capable de toucher les lecteurs audelà des frontières nationales. Tel est le cas des langues suivantes: Chinyanga, Oromo, Amharic, Tigrinya, Lingala,Hausa, Yoruba, Akan, Mandinka, Fulfulde, Wolof, Nguni, Sothoet Malagasy. La collection comprendra aussi les languesofficielles de l’Union Africaine à savoir – le Swahili, le Français, l’Anglais, le Portugais, et l’Arabe.

Un projet pilote a été mis sur pied pour coïncider avecl’année 2006, année des langues africaines. Ce projet produiraune série des livres pour la petite enfance, adaptée de la série Little Hands du PRAESA; tandis que pour l’enfance moyenne lasérie sera constituée d’une collection d’histoires d’enfantsécrites par des auteurs bien connus soit de l’Afrique ou de ladiaspora. Ces histoires sont soit déjà existantes ou elles serontspécialement rédigées pour la collection, mais elles seront enlangues africaines. Cela donnera aux régions l’opportunitépour améliorer la distribution, la publicité ou résoudre les problèmes rencontrés à cette phase initiale avant de commencer la rédaction des trois volumes à venir.

Les coordinateurs régionaux suivants ont été élus il s’agit de: Abudulai Jakalia pour l’Afrique occidentale; Joshua Madumulla pour l’Afrique Centrale et orientale et Xolisa Guzula pour l’Afrique australe. Ils travailleront en collaboration avec Carole Bloch qui coordonne l’unité d’alphabétisation initiale du PRAESA et qui est la coordinatrice principale du projet StAAf. Les lecteurs désireux de participer à ce projet c’est-à-dire, capable d’envoyer des contes et histoires aux coordonnateurs, faciliter les contactes avec les maisons d’édition (maisons devente) ou d’aider dans la publicité des livres, sont doncencouragé à contacter les bureaux du PRAESA ou lescoordonnateurs régionaux.•

Rapport rédigé par Carole Bloch et Carolize Jansen

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„Erzähl mir ein Märchen!“ Nicht die Wahrheit des Märchens fesselt uns, sondern die symbolhafte Spiegelung von Wirklichkeiten. Ursprünglich sind Märchen Erzählungen für Erwachsene. In ihnen offenbaren sich Weltbild, Wertvorstellungen und soziale Verhaltenskodizes einer Gesellschaft; sie handeln von Ängsten, Konflikten und Sehnsüchten der Menschen, aber auch von den unergründbaren Geheimnissen der Natur.
Das Projekt „Afrikanische Märchen erzählen Geschichte(n)“ möchte die Wirkung von Märchen nutzen, um zu einem besseren Verständnis afrikanischer Gesellschaften beizutragen.

Babacar Mbaye Ndaak

"Es war einmal ..." Märchen ohne Märchenerzähler sind fast undenkbar. Denn erst sie tragen zur Entstehung und Überlieferung von Märchen und Märchensammlungen maßgeblich bei und führen die Tradition des Erzählens über Generationen hinweg fort.

Der Märchenerzähler Babacar Mbaye Ndaak arbeitet hauptberuflich als Lehrer für Geschichte und Geografie in seinem Heimatland Senegal. Er war Schüler des senegalesischen Gelehrten Cheikh Anta Diop und ist Mitglied der Stiftung Youssou N'dour, die sich im Senegal seit langem der Förderung von Jugendlichen in Bildungsprojekten verschrieben hat.

Für Babacar Mbaye Ndaak sind Märchen das Vehikel afrikanischer Werte. Auf diese muss sich der Mensch zurückzubesinnen, denn eine Zukunft kann nur aufbauen, wer sich seiner Vergangenheit bewusst ist. Der Märchenerzähler weiß, dass das Wort nicht nur die Erinnerung kreiert sondern auch das Handeln bestimmt. Er will deshalb mit Märchen die Vorstellungswelt von Kindern und Erwachsenen so prägen, dass sie als humane Wesen mit Respekt und mit Hoffnung aufwachsen und leben können.

Im Rahmen des Projekts "Afrikanische Märchen erzählen Geschichte(n)" wird Babacar Mbaye Ndaak bei Veranstaltungen in Berlin, Potsdam und Lüneburg auftreten und afrikanische Märchen erzählen und spielen. Begleitet und übersetzt wird er von Julie-Marthe Lehmann, die bereits in Kamerun mit ihm aufgetreten ist. Lassen Sie sich von den afrikanischen Märchen und der senegalesischen Erzählkunst auf eine Reise mitnehmen, auf der Sie afrikanische Lebenswelten kennen lernen!

Termine

Leeboon Ci Leer – Märchen im Licht des Mondes
Am Freitag, den 12. Mai um 19.00 Uhr lädt AfricAvenir zu einem afrikanischen Märchenabend mit Babacar Mbaye Ndaak in das Potsdamer Einstein-Forum.

Kultur als Brücke: Märchen und Menschenrechte
Am Donnerstag, 11. Mai 2006 laden die Friedrich-Ebert -Stiftung und AfricAvenir International im Rahmen der Reihe “Kultur als Brücke” zu einer Konferenz über die afrikanische Märchenerzählkultur.

Die Rolle von Märchen in afrikanischen Gesellschaften
Am Montag, den 08. Mai 2006 um 19.oo Uhr lädt AfricAvenir in das Haus der Demokratie und Menschenrechte zu einem Dialogforum mit Dr. Ndiaga Gaye.

“Leebon Ci Leer – Märchen im Licht des Mondes”
Am Samstag, den 06. Mai 2006 um 20.00 Uhr lädt AfricAvenir in Kooperation mit dem Auswärtigen Amt zu einem afrikanischen Märchenabend mit Babacar Mbaye Ndaak in den Internationalen Club. Anmeldung bis zum 03.05.2006: a.helfrich[at]africavenir.org. Eintritt: 12 Euro / 8 Euro.

Matinée der Klänge: Märchen aus Dakar treffen auf Musik aus Berlin
Am Sonntag, den 07. Mai 2006 um 11.00 Uhr lädt AfricAvenir in Kooperation mit dem C. Bechstein Centrum zu einer ‘Matinee der Klänge’ ins Stilwerk. Der Märchenerzähler Babacar Mbaye Ndaak aus Dakar wird begleitet durch den Berliner Pianisten Jacek Rabinski. Eintritt: 12 Euro / 8 Euro.

Märchen in der Schule

An drei Standorten im Südwesten Berlins freuen sich Kinder und Jugendliche der Privaten Kant-Schule auf den Besuch von Babacar in ihrem Unterricht. Es geht um Berührung in den Schulbereichen Literatur, Französisch, politische Weltkunde, Sachkunde, Wirtschaftswissenschaften, Erdkunde und immer wieder fächerübergreifenden Unterricht, kulturelle Begegnung und die Offenheit zum Austausch.

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DES HORDES DE GAMINS DROGUES DE HAINE
BRANDISSENT DES FUSILS D'ASSAUT AVEUGLES
SUR DES DAMES EN GUENILLES
QUI ONT PERDU LE SOUFFLE
A FORCE DE FUIR.

DES GENERAUX SANS GALONS
SONT ASSIS SUR DES HAMACS
ET SIROTENT DES JEUNES FILLES
SUR DES CAISSES DE WHISKY.

C'EST LE PARADIS PROMIS PAR DES IGNORANTS
A DES PEUPLES EN OTAGE
QUE DES MAINS DROITES CARESSENT
QUE DES MAINS GAUCHES MUTILENT
L'AFRIQUE QUE JE CONNAIS NE RESSEMBLE PAS A CELA.

L'AFRIQUE QUE JE CONNAIS
A DES FEUX DANS SES NUITS
DES CLAIRS DE LUNE DANS SES VILLAGES
ET DES CONTEURS
POUR BRULER SES BETISES .

BABACAR NDAAK

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Deutsche Übersetzung einer Geschichte der Wolof, niedergeschrieben von Babacar Mbaye Ndaak und übersetzt von Julie-Marthe Lehmann anlässlich des Projekts "Afrikanische Märchen erzählen Geschichte(n)".

Man sagt bei uns, dass die Frau dem Manne weit überlegen ist, wenn es um List und Tücken geht.

Einst wollte ein Mann, den anderen an Bildung überlegen, die Frauen kennen lernen, um ihre geschickten Tricks parieren zu können. Er begab sich auf eine lange Reise, die ihn durch sieben Länder führte. Er schrieb sieben Bücher, jedes mehr als 1000 Seiten dick, über die tausend und eine Kniffe der Frauen. Schließlich meinte er soviel zu wissen, dass er sich sicher war, Ratgeber aller Männer seines Landes und sogar der Nachbarländer zu werden.

Bei der Rückkehr von seiner Rundreise kam er, ebenso wie auf dem Hinweg durch das Dorf von Khamago, in dem sein Freund Mougueul lebte.

Die Frauen am Brunnen hießen ihn willkommen und boten ihm zu trinken an. Er wusch sich und schickte sich an, seine Gebete zu sprechen. Als ihn eine von ihnen frug:
- Woher kommt ihr, lieber Onkel?
- Ich war auf Reisen, um die Frauenfrage zu studieren. Antwortete er voller Selbstbewusstsein.
- Ah – und worin bestanden Eure Studien?
- In einer Bestandsaufnahme eurer Streiche, Listen, Fallen und Kniffe, um meine Brüder davon zu befreien. In diesen sieben Bänden habe ich alles, was man über euch wissen muss, zusammengetragen. Sagte er lachend.
- Wo sind diese Bücher, auf die Ihr so stolz seid?
- Dort!
- Darf ich sie sehen?
- Ja, hier sind sie!

Die Frau besah sich den großen Packen, gab vor verwundert zu sein, raffte ihn auf und warf alles mit einem jähen Stoß in den Brunnen und sagte:
- Kehr zurück zu deinen Studien, denn dieser Coup fehlte noch in deinem Werk!

Überrascht schlug der Mann die Hand vor den Mund. Und seitdem schicken die Frauen ihre Männer immer dann wenn es ihnen gerade passt fort zum Studieren.

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Am Donnerstag, 11. Mai 2006 laden die Friedrich-Ebert -Stiftung und AfricAvenir International im Rahmen der Reihe “Kultur als Brücke” zu einer Konferenz über die afrikanische Märchenerzählkultur. Eine Veranstaltung der Friedrich-Ebert-Stiftung in Kooperation mit AfricAvenir International e.V. In der Reihe Kultur als Brücke stellen wir Künstler und Kunstwerke vor, die sich um die kulturelle Verständigung zwischen den Nationen und Kontinenten bemühen. Die vierte Konferenz in dieser Reihe wird sich der afrikanischen Märchenerzählkultur zuwenden und nach ihren Möglichkeiten des Dialogs über die Menschenrechte fragen. Ist es mit ihren Mitteln von Bildern, Geschichten, Symbolen und Zeichen möglich, Menschenrechte weltweit zu verbreiten und zur Diskussion dieser Rechte beizutragen? Wie können wir die Märchen als Beitrag zu einer humanen Entwicklung nutzen?

Kultur als Brücke
Märchen und Menschenrechte
Einsichten in die afrikanische Erzählkultur


Am 11. Mai 2006 von 11 bis 18 Uhr im Konferenzsaal der Friedrich-Ebert-Stiftung, Hiroshimastraße 17 in 10785 Berlin-Tiergarten

Der Märchenerzähler Babacar Mbaye Ndaak aus Dakar wird Beispiele seiner Kunst vortragen.

Vorträge und Diskussionen mit:
Dr. Heiner Bielefeldt, Direktor des Instituts für Menschenrechte; Prof. Dr. Susanne Gehrmann, Humboldt-Universität zu Berlin, Dr. Ndiaga Gaye, Universität Dakar; Dr. Marlene Rytlewski, AfricAvenir International e.V; Andreas Wegener, Verein der Privaten Kant-Schulen

Informationen und Anmeldung bei:
Forum Berlin der Friedrich-Ebert-Stiftung
Hiroshimastraße 17
10785 Berlin
Tel: (030) 26 935 827
Fax.: (030) 26 935 857
Mail: forumberlin (at) fes.de

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